On parle de Cap vert Paysage dans la Nouvelle République

Extrait du dossier "la reprise d'entreprise" dans Cap'Eco Le Mensuel du 15 mars 2016 - La Nouvelle République

SE METTRE LES FINANCIERS DANS LA POCHE »

nouvelle-republique-11Nicolas Budain fut salarié de Cap Vert Paysages qu’il dirige à Montbazon. C’est à la demande de son ancien patron, Vincent Popelier, qu’il a pris sa décision, entre l’été 2003 et début 2004. L’affaire est conclue en six mois. « J’ai racheté l’entreprise pour 200.000 €. Tout est très rigide lorsque l’on a à faire aux banques. Il faut être convaincant pour se mettre les financiers dans la poche… Je me suis bien entouré en prenant un avocat… ». La Chambre des métiers et de l’artisanat et l’IDIL ont également cru en lui. Aujourd’hui, l’entreprise de Nicolas compte 23 salariés – dont 4 apprentis – contre 4 au moment de la reprise. Le patron ne pousse plus la tondeuse, mais veille à la croissance interne et externe de Cap Vert Paysage. En interne, il a associé des collaborateurs avec des parts dans des entités (services à la personne, terrains de sports). Il forme aussi des BTS paysagistes ou commerciaux de produits ornementaux diplômés. La croissance externe passe enfin par la diversifi cation de la clientèle. Hier, Cap Vert Paysage ne répondait qu’aux particuliers. Ces derniers ne représentent plus, aujourd’hui, que la moitié de sa clientèle.

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